Vendre la merde de Montcuq ? Un programme électoral ? Une trilogie française

Ayant constaté la forte présence de livres de merde dans les médias, j’ai décidé, également par nécessité financière, d'essayer de vendre quelques livres de merde, quand mes romans (six), pièces de théâtre (certaines traduites en anglais et allemand depuis 2011, en espagnol depuis 2013 et italien en 2014) essais (j'ai même osé sur Aurélie Filippetti), livres d'art (à tarif décent), intéressent peu les journalistes (submergés par les produits industriels il faut comprendre qu'ils n'ont plus de temps pour ce qui ne bénéficie pas d'attachées de presse et amis), donc de publier une trilogie lancée sous le titre du troisième volet : « Un livre de merde. »


Un livre de merde, en vrai papier, en vidéo :
Le roman de la révolution numérique
Le roman de la révolution numérique (dédié aux lectrices et lecteurs)

OU

Un livre de merde (dédié à la bibliothèque de Montcuq, celles de Cahors, Figeac, Gourdon...) et à quelques personnalités - qui n'ont pas réagi) ?
un livre de merde
un livre de merde, de Montcuq
Dans la collection Politique, "un livre de merde, de Montcuq"
Vendre la merde de Montcuq, en boîtes
Dans la collection Notre vie, "Vendre la merde de Montcuq, en boîtes"
un livre de merde
Dans la collection Opinions, "un livre de merde"
Furent ainsi publiés :
- 24 janvier 2014 "Un livre de merde, de Montcuq",
- 30 janvier 2014 "Vendre la merde de Montcuq, en boîtes"?
- 4 février 2014 "un livre de merde".

Livres : en papier (normal et non hygiénique) et en numérique.

blanc et noir

Dans la collection Notre vie, Stéphane Ternoise a publié "Vendre la merde de Montcuq, en boîtes."
Vendre la merde de Montcuq, en boîtes

On peut encore l’envisager, la littérature... à condition de contribuer à la valorisation du patrimoine des grandes fortunes, Gallimard (plus Bernard Arnault), Lagardère (plus Qatar), Esménard, de La Martinière... Comportement correct exigé : sourires et encensement de ces bienfaiteurs de la culture... ne pas aborder des sujets déplaisants... Qui parmi ces grandes âmes publierait Céline ?
Comme l’a proclamé madame Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, en juin 2012 : « C’est l’éditeur qui fait la littérature. »
Entre les éditeurs et les 25 000 points de vente traditionnels, les malins ont su imposer leur maillon essentiel : la distribution, invisible aux béotiens, terriblement efficace (pour le cash et le contrôle des livres médiatisés). Barrière infranchissable pour l’écrivain libre. Le statut d’éditeur indépendant relève de l’usurpation de dénomination ou de la marginalité...



Bref, il convient d’agrémenter le catalogue de pitreries, puisque même la bibliothèque de Montcuq (10 ans d’utilisation de l’argent public), celles de Cahors, Figeac... comme la Bibliothèque Départementale de Prêt du Lot, ignorent mes six romans, pièces de théâtre (certaines traduites en anglais, allemand, espagnol), essais...

Naturellement, on peut comprendre que la Dépêche du Midi préfère ne pas contribuer à l’essor de ce travail. Il s’agit d’un quotidien tellement exigeant culturellement (patron Jean-Michel Baylet, également à la tête du Parti Radical de Gauche, PRG).

En 2014, aux municipales de Montcuq, au moins deux listes s’affronteront. J’ignore si le futur maire reprendra ce projet de vendre la merde municipale.
Quand j’avais proposé un salon du livre, monsieur Daniel Maury (du PRG) avait "poliment décliné l’offre." Il est mort.
Que de ressources en perspective, pour la municipalité lotoise comme pour l’éditeur reconverti ! Et nul doute que 80 % de ses 36 000 collègues relayeraient le projet.
La France a de la merde, est dans la merde (pourtant elle tient encore !), il lui faut bien des idées merdiques, face à une oligarchie ayant confisqué l’indépendance.

Ne pouvant vendre mes livres, j’accepte donc de proposer de la merde ; c’est également à monsieur Gérard Amigues, adjoint attelé à la Culture du Lot, que je dédie ce document...
Sans oublier monsieur Martin Malvy, président du Conseil Régional, et "sa" réponse sur ma profession libérale d’auteur-éditeur...

Jack-Alain Léger (suicidé en 2013) a publié un livre au titre me revenant opportunément : "On en est là." Oui, on en est là, au pays de l’exception culturelle confisquée par l’industrie Kulturelle.

Ce document reprend le contenu du succulent "Un livre de merde, de Montcuq." Tout en s’intéressant à la Merde d’Artiste de Piero Manzoni.



Acheter Vendre la merde de Montcuq, en boîtes :

En papier : 21 euros (car la couleur, en papier, coûte chère, même pour de la merde) soit 20,24 euros et livraison gratuite sur Amazon. (l'autre livre existe en noir et blanc !)

En numérique : la couleur et le noir et blanc coûtent le même prix en fabrication, donc le livre est uniquement disponible en couleur, euros 99 : amazon, Itunes , Immateriel (pdf en plus epub et kindle)... la merde est bien distribuée...

blanc et noir

Dans la collection Politique, Stéphane Ternoise a publié "un livre de merde, de Montcuq".

un livre de merde, de Montcuq



La littérature, il la faut de Paris, de préférence soumise à un groupe chapeauté par une grande fortune, ou de province mais dans les baronnies régionales... à Montcuq, faîtes-nous rire !

Il faut donner "aux gens" ce qu’ils veulent ? Mettre le nez des bibliothécaires, journalistes, élus affectés à la culture, dans leurs dérives ?

Ou alors, non ? Cacher également cette "provocation lotoise", et continuer à subventionner des groupes dont les exigences de rentabilité passent par le contrôle des faiseurs d’opinions et des subventionneurs ?

Publier ce livre n’arrangera pas "tes affaires" ! Il vaut mieux se taire, fermer les yeux, et flatter, plaire aux installés qui nourrissent les artistes avec des miettes tout en se partageant le gros gâteau. Ecrire une ode à Aurélie F ? Ou à Malvy Martin, Amigues Gérard ?
Dans la France de l’exception culturelle, il n’y a pas de place pour un écrivain indépendant ! Juridiquement acceptée, la profession libérale auteur-éditeur subit un système façonné par les éditeurs, pour les éditeurs "traditionnels" (du SNE, Syndicat National prétendu de l’Edition).

A genoux les pauvres !

Les installés doivent profiter de la crise pour écraser les sans-dents...

Un livre essentiel (au titre approprié !)
a genoux les pauvres


La littérature, en fait... quasiment tout le monde s’en fout.
Quant aux dernières lectrices, aux derniers lecteurs, il s’avère quasi impossible de leur montrer les œuvres non lancées par l’oligarchie, "le roman de la Révolution numérique" par exemple... La "chaîne du livre", comme elle se nomme elle-même, vise à enchaîner l’ensemble de la filière. Lectrices et lecteurs doivent penser acheter par choix, même si les diverses marques appartiennent à des mastodontes tenus par des grandes fortunes de France... vénérables maisons où les chroniqueurs influents sont publiés... Tout s’achète !

Pourtant, dans toutes les bouches prétendues humaines, tolérantes, ouvertes, y’a le mot Culture.
La Culture est sacrée, pour les femmes et les hommes "de gauche" ! Si si, à condition naturellement qu’elle permette aux notables de maintenir leur mainmise "politico-culturelle."

Vive la Culture !
Vive les libraires, vive les éditeurs...

Tout se vend, quand le produit arbore un label connu, quand il figure sur les tables... De Loana (chez Pauvert, filiale de la maison Fayard, du groupe Hachette de Lagardère, également éditeur du Marquis de Sade et Françoise Sagan) à Nabilla (Éditions Privé des éditions Michel Lafon, également éditeur de Martin Malvy)

Tout se vend, quand les médias s’en mêlent. Même l’air de Montcuq, paraît-il !

Ainsi, comme tout homme étant mortel, Socrate étant un homme, Socrate fut mortel, "un livre de merde, de Montcuq" pourrait se vendre bien mieux que le "roman de la Révolution Numérique."

Vive Montcuq, et vive la merde. On y est, d’ailleurs, dedans. Ce livre ne se limite pas à quelques photos locales montrant la diversité des déjections mais regroupe des analyses sur l’époque, principalement dans le domaine culturel (donc politique).

Stéphane Ternoise
Acheter un livre de merde, de Montcuq :

En papier : 21 euros (car la couleur, en papier, coûte chère, même pour de la merde) soit 20,24 euros et livraison gratuite sur Amazon. (ainsi existe également Un livre de merde, de Montcuq, intérieur noir et blanc , moins cher : Amazon) En numérique : la couleur et le noir et blanc coûtent le même prix en fabrication, donc le livre est uniquement disponible en couleur, 7 euros 99 : amazon, Itunes , Immateriel (pdf en plus epub et kindle), orange... la merde est bien distribuée...


blanc et noir

Dans la collection Opinions, Stéphane Ternoise a publié "un livre de merde". 144 pages en papier.

un livre de merde


Dimanche 2 février 2014, je supprime cookies et historique de navigation, lance une requête "un livre de merde" sur google.
Dernière étape du projet politico-littéraire présenté le 24 janvier 2014 avec "un livre de merde, de Montcuq."

Le moteur de recherche a déjà intégré les deux bouquins édités en numérique et papier, il fournit onze pages de réponses. Instructives.
Je constate, simplement. Mon rôle consiste principalement à renvoyer un miroir à notre société, ses dérives.

"Un livre de merde", nul n’en avait jamais publié. Il s’agit naturellement d’une remarque se référant au titre.

Quand des éditeurs refusent un livre, est-ce un livre de merde ?
Quand des éditeurs publient un livre mais n’en assurent plus la distribution, est-ce un livre de merde ?
Les 500 000 bouquins dits indisponibles du vingtième siècle, sont-ce des livres de merde ? Référencés dans la première liste : Jean-Marc Ayrault (oui, le premier ministre encore ce jour), Bernard Tapie, Jean-Michel Baylet...

Quand un auteur souhaite rester indépendant, ne pas travailler pour un système mauvais contrôlé par des hommes installés parmi les grandes fortunes du pays, il publie forcément des "livres de merde" ?

Donc, "un livre de merde", car les médias semblent indifférents au contenu des livres et "la critique littéraire" est devenue un relai promotionnel des installés. Certains parmi les sommités le confirment !

Qui parmi les écrivains osera reprendre ce "ça suffit" ? Derrière la provocation, c’est bien d’indignation qu’il s’agit. Lectrices et lecteurs, vous pouvez désormais savoir, vous n’êtes plus obligés de les croire dans leur "lutte anti-Amazon" qui cache la forêt du contrôle de l’édition par une oligarchie où la rentabilité relègue la littérature à un simple leitmotiv.

Combien de bibliothécaires cesseront de répéter leur "soutien à la chaîne du livre", corollaire de leur mépris des vrais indépendants (le système exhibe de prétendus indépendants, distribués par les mastodontes...)

Certains "petits éditeurs" essayent de survivre régionalement, ont abandonné l’espoir d’être vraiment distribués mais soutiennent "la grande maison"...

Ça suffit, cette politique d’une oligarchie pour l’oligarchie.
Ça suffit, le changement c’est la continuité.

Ça suffit, la réunion de quelques notables à la table des éditeurs pour prétendre à une concertation avec les écrivains.

Un livre engagé, avec des photos de merde. De la vraie, oui.


Acheter un livre de merde :

En papier : 23 euros (car plus épais, et la couleur, en papier, coûte chère, même pour de la merde) mais livraison gratuite (devenue un centime après la loi honteuse) sur Amazon.

En numérique : la couleur et le noir et blanc coûtent le même prix en fabrication, donc le livre est uniquement disponible en couleur, 7 euros 99 : amazon, Itunes , Immateriel (pdf en plus epub et kindle), orange... la merde est bien distribuée...

Stéphane Ternoise est d'abord romancier et dramaturge... Dans ce monde à l'agonie, il ne souhaite pas participer au spectacle de l'édition traditionnelle (où l'argent public sert à enrichir les grandes fortunes Lagardère, Gallimard...)


Déjà Louis-Ferdinand Céline fustigeait le Gallimard et ses millions...
L'édition, c'était déjà le triomphe des grandes fortunes...
Stéphane Ternoise est d'abord romancier et dramaturge... essayiste...

Le roman de la révolution numérique
Le roman de la révolution numérique.
Papier : 16 euros, par exemple sur Amazon
Version numérique à 4 euros 99 :
Amazon, itunes, immateriel (pdf)...

un roman autobiographique
Papier (16 euros) : Amazon
Version numérique à 4 euros 99 :
Amazon, itunes, immateriel (pdf)...
Les 6 romans : www.romancier.org.

theatre
Papier : Amazon (21 euros les 520 pages)
Version numérique à 8 euros 99 :
Amazon, itunes, immateriel (pdf)...


devenir écrivain
Comment devenir écrivain ? être écrivain !
Ma meilleure vente en numérique en 2014 !
Papier 11 euros sur amazon.

Numérique 4 euros 99 : amazon.
- itunes .
- Immateriel (dont PDF)
Où commence le conflit d'intérêts ? Comment l'arrêter ?
Ya basta Aurélie Filippetti !
Ya basta Aurélie Filippetti !
Est sous-titré : ça suffit Aurélie Filippetti Ministre de la Culture en contrat avec un éditeur traditionnel

Papier 12 euros... Exemple sur Amazon.fr

Numérique 3 euros 99, exemple sur Amazon également si vous possédez un kindle, itunes pour ipad, immateriel en pdf.
Les essais sur : www.essayiste.net

a genoux les pauvres
Papier : Amazon (15 euros)
Version numérique à 7 euros 99 :
Amazon, itunes, immateriel (pdf + epub)...

Présentation de ce livre essentiel dans notre dérive de la démocratie : www.resister.org



disparition canton
Papier : Amazon (19,20 euros)
Version numérique à 8 euros 99 :
Amazon, itunes, immateriel (pdf)...


- Les livres sur le Lot (les sites qui les présentent).

Accéder à plus de livres (sur livrepapier.com).

Chroniques locales...


Scandale ou petite provocation locale et nationale pour dénoncer le mépris de la Culture ? Ou les deux ?




- élections municipales dans le Lot en 2014 (les maires jettent l'éponge)


- élections municipales à montcuq en 2014 (le suivi)

Commentaires...




Un commentaire de qualité

-- du 27 novembre 2015 à 20 : 14
par Le Goncoulitzer Magazine : Allons, allons...
Vous paraissez bien amer, ô écrivain !
Pensez-vous sérieusement que la compromission des artistes avec le pouvoir date de ces 50 dernières années ?
Pensez-vous sérieusement que "exception culturelle" signifie autre chose que ce que les hauts fonctionnaires du ministère de la Culture et de la Communication se sont amusés à inventer un jour de pluie et de désoeuvrement pour justifier leur salaire élevé en pensant faire suer les Américains et l'Europe entière ? Pensez-vous sérieusement que le jour où une émission soi-disant littéraire vous invitera sur son plateau afin que vous puissiez parler à vos lecteurs à la télévision, vous refuserez l'invitation ?
Cordialement,

-- du 14 septembre 2014 à 14 : 11
par Alain : Vous êtes gonflé, Ternoise. Pas certain que nos journalistes aient l'humour nécessaire pour s'intéresser à vous mais en tout cas je vous ajoute dans mes favoris. Continuez ! Alain

-- du 05 février 2014 à 13 : 06
par aline : Si un jour je vois une bibliotheque avec les trois , un livre de merde, de Montcuq,
vendre la merde de Montcuq, en boîtes et un livre de merde, je vous envoie la photo. ça me fait rire mais pas au point d'acheter les trois.

-- du 31 janvier 2014 à 18 : 09
par Poétesse TWITTER : Hélas, vous avez tellement raison !


-- du 30 janvier 2014 à 11 : 59
par ternoise précise : A ce jour aucun des candidats ne pas contacté pour porter ce programme électoral de vendre la merde de Montcuq.

Le contact et mentions légales.

Il faudra retenir qu'à cette époque Martin Malvy dirigeait la région, Gérard Miquel le département où officiait Gérard Amigues à la culture. Quant au Président de la République, il s'agissait de François Hollande, que certains décrirent ravi de remettre... une légion d'honneur à Martin Malvy. La ministre de la Culture était en contrat avec le principal groupe d'édition du pays, Lagardère.

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